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NBA 2K25 est le titre phare du basketball en mode vidéoludique. 2K Games mise gros ici, car il faut renouveler le plaisir et l’envie d’investir presque 80 euros dans ce jeu. La maison annonce des graphismes encore améliorés, des animations plus complètes, des améliorations de gameplay et bien sûr l’incontournable My Career. Cela suffira-t-il à nous emporter ? Surtout qu’encore une fois, il semblerait que le démon de la microtransaction hante ce titre.
Comment avons nous testés ce jeu ?
Ce test a été réalisé avec une version PS5 envoyé par 2K Games sur une PlayStation 5, en mode qualité et sur un téléviseur TCL C89B.
Le scénario de NBA 2K25 : Une immersion entre plaisir et frustration
Dans NBA 2K25, le mode MyCareer reste le cœur de l’expérience pour les fans. Ce mode vous permet de créer un joueur entièrement personnalisé. Dont vous suivrez la carrière depuis ses débuts en NBA jusqu’à la consécration. Avec des scènes cinématiques plus immersives et des interactions sociales renforcées, le mode MyCareer vous plonge dans la vie d’un joueur professionnel. Ce qui inclut non seulement exceller sur le terrain, mais aussi entretenir des relations complexes avec les fans, les coachs et les sponsors. L’ajout de cette dimension narrative plus poussée rend l’expérience globale plus vivante et engageante.
Cependant, un bémol vient troubler cette immersion : l’omniprésence des microtransactions. La progression de votre joueur est directement liée aux VC (Virtual Currency), la monnaie virtuelle interne au jeu. Que vous pouvez gagner en jouant, mais que vous obtenez beaucoup plus rapidement via des achats réels. Ce système ralentit considérablement l’évolution pour les joueurs qui ne souhaitent pas dépenser d’argent supplémentaire.
Ce qui crée un déséquilibre frustrant entre ceux qui investissent financièrement et ceux qui préfèrent une progression naturelle. Cette barrière freine le plaisir, chaque amélioration ou personnalisation nécessitant un recours aux VC. Au lieu d’un système de niveau classique basé sur l’XP, il faut payer. Certes, il est possible d’avancer sans dépenser, mais cela prendra bien plus de temps. Ici, 2K se moque des joueurs qui achètent déjà le jeu à plein tarif. Que les microtransactions se limitent aux cosmétiques, pourquoi pas, mais que cela influe sur la progression, c’est franchement mesquin.
Outre MyCareer, le mode MyTeam revient également dans NBA 2K25. Il propose une expérience orientée vers la collecte de cartes pour constituer une équipe de rêve. Le concept reste addictif, mais ici encore, les microtransactions sont omniprésentes. Les packs de cartes les plus intéressants sont souvent inaccessibles sans achat. Ce qui désavantage les joueurs qui souhaitent éviter de dépenser de l’argent réel.
Le mode The City ajoute une dimension communautaire intéressante. Les joueurs se déplacent dans un environnement urbain en monde ouvert. Vous pouvez alors participer à des matchs informels en extérieur, mais aussi des activités sociales et des événements. L’idée est bonne et renforce l’aspect social du jeu. Malheureusement, comme pour les autres modes, la personnalisation de l’avatar est elle aussi fortement dépendante des VC. Les options les plus esthétiques ou distinctives sont presque toujours derrière des paywalls. Nous passons de l’agacement à un certain énervement.
NBA 2K25 parvient à offrir une expérience de basketball qui donne envie de s’impliquer. Nous n’avons fait ici que survoler la densité du contenus, riche, très riche. Mais l’omniprésence des microtransactions crée un fossé entre les joueurs. Pourquoi ne pas mettre le jeu en free to play à un moment ? Toutefois comme vous allez le lire ci-dessous, la situation n’est pas si simple.
La jouabilité de NBA 2K25 :
Le gameplay d’NBA 2K25 reste l’un des aspects les plus travaillés du jeu. Cela commence par la précision et la fluidité des mouvements des joueurs. Les animations sont plus réactives que dans les précédentes éditions. Ce qui se traduit par une meilleure gestion des actions rapides sur le terrain, notamment les dribbles, les passes et les contre-attaques. Le nouveau système de dribble offre aux joueurs plus de liberté pour contrôler leurs mouvements. Ce qui permet d’esquiver plus facilement les défenseurs ou de créer de l’espace pour les tirs.
L’aspect défensif du jeu a également été repensé, avec une amélioration des mécanismes de blocage et de marquage. Désormais, les interactions physiques entre les joueurs lors des phases défensives sont plus réalistes. Les contacts entre les joueurs ont un véritable impact sur les résultats des actions. Les duels pour la possession du ballon sont plus tactiques, et les contres ou les interceptions demandent plus de timing et de précision. Ce qui est intéressant dans NBA 2K25, c’est que chaque choix défensif semble avoir plus de poids. Qu’il s’agisse de bloquer un tir ou de protéger la raquette.
Cependant, malgré ces améliorations, certains aspects du gameplay peuvent sembler répétitifs pour les joueurs réguliers. Bien que le système de dribble soit plus souple et la défense plus engageante. Les mécaniques de base, comme les passes et les tirs, restent fondamentalement les mêmes par rapport aux précédentes éditions. Cela peut donner une impression de stagnation pour ceux qui espéraient des changements plus profonds. Par exemple, les actions de tir ou de passe automatique restent relativement identiques à celles des années précédentes. TOutfois, nous avons apprécié Les nouveautés tels que les signatures moves permettant de mimer les tirs iconiques d’un joueur et le tuoriel et accomapgnement pour les nouveaux joureur. Tout est fait pour les emttrt à l’aise et qu’ils se lancent rapiudement dans la coméptition.
La technique de NBA 2K25 :
Sur le plan technique, NBA 2K25 propose un niveau de détail qui en fait l’un des jeux de sport les plus impressionnants à ce jour. La modélisation des joueurs est extrêmement précise, avec des textures et des expressions faciales qui frôlent le photoréalisme. Chaque détail a été soigné, qu’il s’agisse des mouvements de la balle, des animations des maillots ou des expressions faciales lors des moments clés d’un match. Les stades sont tout aussi impressionnants. Ils recrééent avec réalimse l’ambiance authentique d’un match de NBA. Les détails des environnements, que ce soit le parquet brillant ou les tribunes pleines de spectateurs animées, contribuent à l’atmosphère de match de haut niveau.
Les dribbles sont particulièrement bien réalisés, avec des transitions douces entre les différents mouvements. Ce qui donne un aspect naturel à chaque action. Les collisions physiques, qu’il s’agisse de contacts lors des phases de défense ou des duels sous le panier, sont plus réaliste. Cela permet d’éviter les effets de de mouvements brusques que l’on pouvait observer dans les versions précédentes du jeu.
Cependant, bien que le jeu soit superbe visuellement, il souffre de quelques défauts techniques qui altèrent cette qualité. Quelques bugs récurent sont référencés et nous avons une certaine lenteur dans le chargement ou la gestion des menus.
La bande sonore, un autre point fort de la série, reste excellente, avec une playlist aux petits oignons. Les commentaires des matchs sont amusants, mais deviennent répétitifs après plusieurs heures de jeu. Malgré ces petits défauts, NBA 2K25 reste le jeu de basketball le plus complet et réaliste. Les compétitions en ligne en Pro-Am ou dans des ligues en ligne permettent aux joueurs de s’affronter dans des matchs structuré. Mais ce modes souffre parfois de problèmes techniques, tels que des déconnexions ou des ralentissements.
Conclusion, prix et disponibilité
NBA 2K25 est disponible sur PC, PS4, PS5, et Xbox Series au prix de 79,99 euros sur le site de l’éditeur et chez les revendeurs partenaires.