Test Express Harvest Moon : Un monde à cultiver, ferme mobile pour les petits

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Vous sentez vous une âme d’agriculteur et d’aventurier ? Alors, il faut peut-être se pencher sur Harvest Moon : Un monde à cultiver et son univers aussi mimi que passionnant.

Version testée Nintendo Switch provenant de l’éditeur Nintendo

Scénario et gameplay, quand la ferme déménage

Vous voilà les pieds dans la terre, mais votre village est fatigué de toujours manger la même chose. Avec votre robot capable qui est capable de transporter votre ferme d’un territoire à l’autre. Vous allez chercher de nouvelles variétés de plantes à cultiver. Attention, si la ferme est nomade, vos plantations restent sur le terrain où vous les avez plantées.

Ainsi, de terres arides à très vertes, vous devrez exploiter les caractéristiques de chaque type de sol pour offrir le plus de diversité possible à vos villageois.

Technique et plaisir, répétitif et juste techniquement

Vos actions sont amusantes au départ, mais très vite vous ressentirez une certaine lassitude. Pour avancer et obtenir toujours plus de plants différents, il faut sans cesse recommencer les mêmes activités. Bref, seul les enfants déjà capables de regarder 10 fois d’affilé le même Disney prendront du plaisir sur la durée. Le jeu est très répétitif et ne comptez pas sur la variété et qualité des graphismes pour vous changer les idées. On sent que l’équipe à l’origine de la série n’est plus aux commandes et qu’ici nous avons droit à une certaine facilité. Cela reste attachant, charmant même, mais cela manque de finition. Même si le public visé est jeune, cela n’excuse pas un certain manque de respect en n’apportant pas le même soin que pour un titre pour les plus âgés.

Harvest Moon : Un monde à cultiver, mon avis

Est-ce parce que nous sommes de plus en plus éloignés de la nature, du monde agricole que les jeux vidéo nous offrant la possibilité de cultiver la terre ont tant de succès ? Je n’ai pas la réponse, mais je peux vous dire que ce jeu est surtout dédié aux plus jeunes. Au-delà de 10/12 ans, la mignonnerie ne pourra plus compenser les faiblesses et répétitivité du titre.